Avant la malédiction. Il était une fois ( et c'est repartit pour une fin toute rose, youpi, non mais franchement). Donc : Il était une fois, une jeune fille nommé Adélaïde Pendragon, elle vivait dans un tout petit village. Un avantage pour trouver quelqu'un, mais un inconvénient quand on veut garder un secret pour soit.
C'était le cas de ma mère, une jeune femme blonde, aux grands yeux émeraude. Elle était une simple paysanne, rien de bien spécial dans sa vie. Rien à part, son amour pour le jeune Arthur, qui était déjà un très bel homme pour ses 17 ans qu'il venait de fêter. Un tient mate, de yeux et des cheveux de la même couleurs. Il parait que ma mère et lui étaient ami. Mais le soir de son anniversaire, mes parents avaient forcés sur la boisson, et c'est comme ça que je suis arrivé.
J'ai été élevé par un peu tout le monde au village. Personne ne s'occupait vraiment de moi. Je n'ai jamais connu ma mère, personne ne voulait me révéler son identité. Je ne sais pas pourquoi, il n'y avait pas de honte à savoir. J'ai grandis dans le petit village, mais contrairement aux autres, je grandissais plus vite, et je ne savais pas pourquoi. Alors que j'avais un an, mon corps,et mon cerveau étaient ceux d'une personne de cinq ans et demi. Ça non plus je n'ai jamais su pourquoi. Lors de mes quinze ans (en apparence), il s'est passé quelque chose d'étrange.
J'étais en train de chasser, quand soudain, une vive lumière m’éblouit. Je ne voyais plus rien. Ni le cerf que je chassais, ni mes propres mains. En fait si je ne voyais pas mes mains, c'était parce qu'elle produisait cette lumière. Comment était-ce possible, les mains ne sont pas des bougies. Je ne savais pas et ne comprenais pas ce qui m'arrivais, mais une chose était sur, c'est que cette fois, j'avais besoin d'explication.
Une fois cette étrange lumière partit, je rebroussais le chemin jusqu'au village. Je ne savais pas à qui j'allais pouvoir parler de cette chose qui était apparut. Je ne pouvais pas en parler, ou alors, j'en avais une vague idée. Il y avait, comme dans tout les villages, une femme qu'on appelait l'Ancienne. C'était plus ou moins le médecin, et celle qui apprenait aux enfants à lire, écrire et compter. Enfin bref, elle était le "cerveau" du village et elle était très cultivée. Je me dirigeais alors vers sa petite maison en pierre, située en retrait. Je frappais une fois puis elle m'ouvrir, le sourire aux lèvres. Elle me fit m'asseoir et elle me détailla. C'était très gênant au bout d'un moment. Puis au bout de dix minutes, elle m’annonça l'incroyable, l'impensable et l'inoubliable. C'était ce qui faisais que ma croissance était si rapide, ce qui faisais que je pouvait plus où moins parler aux animaux. J'avais des pouvoirs magiques.
Après cette brusque annonce, je me suis sauvé, loin de cette vieille folle. La magie n'existe pas et puis alors que je courrais dans le village en versant des larmes, tous me dévisageaient. "Regardez, c'est la sorcière", ils n'avaient jamais dit ça, alors pourquoi maintenant. Je courus alors, sans m'arrêter. Je fis une pause dans ma chaumière, pris quelques affaires, et partit les plus loin possible du village dans la foret. Je ne savais pas ce qui m'attendais, mais rien ne pouvais être plus horrible que de ne pas être à sa place.
J'errais dans la foret depuis des moins déjà, sans rien. Je savais comment survivre, la foret avait toujours été comme une seconde maison pour moi. Mes journées étaient faites des mêmes choses, tout le temps. Chasser, construire un abri pour la nuit, faire du feu, trouver de l'eau, dormir. Je changeais tout les deux jours minimum de lieux. Je ne voulais et ne pouvais pas être retrouvé. Surtout pas avec tout ce qui se passait.
J'étais aller en "ville" une fois, chercher des fruits, des légumes, et des armes car les miennes étaient cassées. C'est alors que j'ai surpris une conversation entre deux hommes. Une choses que je n'aurai jamais du savoir. Le Ténébreux existait. Ce n'était pas une légende, il y avait vraiment un homme avec autant de pouvoir dans le monde. Il avait tant de pouvoir, que seule une dague aussi puissante que lui pouvait l'arrêter et le contrôler. C'était la personne qu'il fallait que je vois. Le Ténébreux était celui qui allait m'apprendre à utiliser mes pouvoirs. Je voulais devenir une de ses disciples. Mais je ne pense pas qu'il veuille former des gens. Alors une idée, qui se transforma en quête naquit dans mon esprit. J'allais trouver la dague, et prendre le contrôle de cette homme.
C'est ainsi que ma vie se passait à dormir en foret et vivre en ville. Je cherchais la dague, je ne le disais à personne, autant ne pas se faire d'ennemi. Mais plutôt des amis. Rectification, un. Dariuss, grand brun aux yeux noire. Le genre d'homme qui plait à tout le monde. Lui aussi cherchait la dague, mais pour se venger. Le Ténébreux avait tué, sa femme, et il cherchait sa fille. Je le comprenais, il ne pouvait que lui en vouloir, j'aurai eu les mêmes réactions. Nous avons passé du temps ensemble, a nous promener, et chasser. Nous vivions ensemble. Au début je pensais qu'il m'aimait, mais non et heureusement. Je n'aurai pas put lui briser le cœur.
Je me souvient du jour où nous avons apprit qu'une malédiction allait venir. Nous avons beaucoup pleuré. Lui parce qu'il ne reverrait jamais sa fille, et moi parce que j'allais probablement redevenir une petite fille de trois ans. Dariuss savait à propos de moi, mes pouvoirs, et mon but. A début il n'a pas apprécié que je veuille être une élève du Ténébreux, mais ensuite, il a comprit que ça. Mes pouvoirs ne faisait que grandir, et l'idée de l'approche d'une malédiction me donnait envie de les essayer. Pour Dariuss.
Alors nous avons attendus qu'elle vienne, en hauteur, afin la voir arriver. Et elle est venu. Nous nous sommes regardés, et puis il m'a dit qu'il avait confiance en moi. J'ai vu le sort, et lui aussi. Je tendais mes deux mains au loin. Cette malédiction ressemblait plutôt à un épais nuage de fumée aux couleurs noire et violet. Ma magie s'activa, et j’essayais de penser que le fumée disparaissait autour de nous. Dariuss et moi aurions pus continuer à vivre comme des rôdeurs. Mais rien. Rien ne pouvait stopper le sort noir. Dariuss me fit signe d'arrêter, je baissa alors mes mains, en arrêtant ma magie. J'ai été idiote de me croire plus forte que tout le monde. Le sort est en face de nous. Je retient mon souffle, et il me tient la main. Nous nous regardons une dernière fois. Le sort nous avale. Et puis plus rien.
Après la malédiction. Je me réveille avec une étrange sensation. Je ne sais pas de quoi il s’agit, mais en tout cas c'est probablement du à la mauvaise nuit passé. De tout façon du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours très mal dormi, mais aucun médecin ne pouvait l'expliquer. Au et puis c'est pas comme si j'avais une tonne de devoir à rendre pour la rentrée prochaine ( lundi ), non, absolument pas.
Après avoir bu du chocolat et manger un peu, je suis remonté dans ma salle de bain, et m'y suis préparé. Je prends mon sac et me regarde une dernière fois. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression que le bracelet que je porte me dit quelque chose. Quoi je n'en sait rien. De tout façon si je veux vraiment savoir d'où il vient j'irais voir Gold.
D'ailleurs en parlant de lui je l'ai trouvé très étrange en passant la rue hier. Il avait l'air pensif, mais des pensées qui allaient loin. Peut-être qu'il pensait à quelqu'un, mais qui ? Dans mes souvenirs, Gold avait toujours été plus où moin seul, il n'avait ni enfant, ni femme, ni même une famille. Bah surement des problèmes financiers. De tout façon, l'argent sera toujours un problème.
Les jours passent et rien n'arrive avec. Le quotidien est comme toujours monotone et je ne peux rien y faire. Ma vie se résume à aller en cours, et faire mes devoirs. Et les devoirs de Terminale L sont, pour le moment, très ennuyeux. Une dissertation en philosophie, un compte rendu sur la seconde guerre mondiale en histoire. Sans compter le croquis à rendre pour la géographie. Et je trouve les cours de plus en plus ennuyeux. Peut-être est-ce du à l'apparition de cette famille, les ...
Ah oui, les Swan.
Ils ont l'air très gentil, ils sont trois. Une femme, et la mère, Emma, elle est blonde, plutôt jolie. Sa fille, Chloé, un peu le même genre, mais avec un certain charme, et puis il y a le plus jeune, le petit Henry. Je ne leur ai jamais adressé la parole, je devrais. Mais comment aborder des nouveaux alors que tout le monde ce connait déjà. Et puis pourquoi venir ici ? Il n'y a pas beaucoup de chose à Storybrook. Et puis alors que je finis ma dissertation, je me rends compte que nausée avec sa meilleur amie la migraine arrive.
La nausée passe, mais pas la migraine. J'essaye de continuer mon compte rendue, mais je ne peux pas, elle se fait de plus en plus forte. Je prends alors le temps de m'allonger sur mon lit, et attendre que sa passe. Et puis au final je m'endors. Mon rêve est pour le moins étrange.
Je marche dans la foret, au côté d'un homme, un beau brun. Je crois que je rougis quant il me parle. Je n'en suis pas sur. Nous nous regardons, et il m'appelle. Il me crie dessus. Il me hurle mon surnom ( Adé ). Pourquoi ? Qu'ai je fais. J'ai chaud, puis frois. Tout est confus dans mon esprit. Je ne sais pas et ne comprends pas. Qu'est ce qui se passeeeeee ????
Je me réveil en sueur, mon esprit embrumé, que c'est-il passé? Je ne sais pas, mais en tout cas, je me souviens de mon nom de famille...
Pendragon
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