ღ Colombes envoyées : 26 Date d'inscription : 20/06/2016
Sujet: the big bad beast | Adam Randall (La bête) Mar 21 Juin - 15:30
Adam Randall
Mon nom complet est Adam Alexandre Hippolyte Randall mais on peut aussi m'appeler le monstre, la bête, connard, emmerdeur et j'en passe. Je suis né le 13 janvier 1982 en France, ce qui fait que je suis français et que j'ai 34 ans. Je suis célibataire et hétéro . En réalité, je suis la bête dans la belle et la bête. On me dit souvent que je ressemble à Charlie Hunnam.
Sa demeure se trouve en plein milieu d'une forêt, en retrait de la ville • Doit régulièrement engager de nouveaux domestiques. Va savoir pourquoi, ceux qu'il engage fuient très rapidement • N'a pas de préférences particulières pour la gente féminine, il s'en fou • paraît blasé, mais écoute tout, entend tout et ne se gênerait pas pour se mêler de ce qu'il ne le regarde pas • Ne sourit que très rarement • Son alcool préféré reste l’absinthe • Ne fait pas la différence entre noirs, blancs, asiatiques, gays, transsexuels... Il frappe femmes et hommes. Son instinct animal prend le dessus sur tout et n'importe quoi • Dors extrêmement mal • Mange comme un ogre • A la réputation d'être un mauvais coup. Trop violent et trop centré sur lui-même • Ne peut pas s'endormir sans un livre entre les mains • Ne parle jamais de lui • Fume comme un pompier • La seule personne qui le supporte est une vieille nanny qui sert sa famille depuis trop longtemps. Elle le ramasse quand il a vomit partout dans le salon et l'a déjà lavé plus d'une fois • N'a jamais été amoureux • Est régulièrement prit de crise de colère quand il est seul, sans savoir vraiment pourquoi • Utilise son argent à tort et à travers : prostitués, produits illicites, ouverture d'un musée rien que pour lui... • N'aime pas le sucré • Très prétentieux • Égocentrique • Sexiste • N'a de respect que pour ses aînés • Il a horreur des dessins animés • Bestial • Il sort régulièrement avec de belles poupées refaites • Est toujours présent lors les galas de charité qui incluent sa famille, mais ce n'est jamais dit qu'il ne finira pas ivre mort • Alcoolique, évidemment • Égoïste • A déjà fait trois cures de désintoxication, mais reprend toujours très peu de temps après sa sortie • Est toujours accablé de rêves abominables • A perdu une partie de son âme lors de son passage dans le monde de Storybrouke, ce qui lui fait ressentir un manque affreux au fond de sa poitrine • Ne croit en aucun dieu, même s'il a été baptisé • Déteste sa famille • Fils unique • A des cicatrices un peu partout et des tatouages fais n'importe quand et n'importe où • A l'apparence d'une bête • Fait peur aux enfants • Mange presque uniquement de la viande • Organise très souvent de grosses fêtes chez lui. • A réussi à perdre plus ou moins son accent français, mais lorsqu’il s’énerve celui-ci peut revenir et il utilise fréquemment des mots français. •
- Caractère -
Si Adam n'avait pas eu d'argent, il aurait sûrement été ce genre de type que l'on croise dans la rue et qu'on évite, de peur qu'il vous demande une pièce ou qu'il vous poignarde, sans savoir que ce mec, par terre, est trop faible pour ne serait-ce que respirer. Un pauvre gars maigre, aux os rongés par la drogue et le froid. Un homme qui n'a plus rien à perdre, car la vie lui a tout pris. Tout ça par sa faute. Quelque chose qui a été quelqu'un, mais qui, faute d'avoir réussi à remplir ce trou béant dans sa poitrine, a préféré se remplir les veines et la tête de tout ce qui peut détruire un homme, ou une bête.
Mais Adam a de l'argent, beaucoup d'argent. C'est peut-être ce qui l'a laissé en vie, ce qui a fait la différence: la possibilité de remplir ce trou dans sa poitrine de différentes manières. La possibilité d'avoir une éducation où tout est permis, où il n'y a pas d'efforts à faire et où l'argent peut tout acheter, même et surtout la dignité. Adam est une personne brutale, violente, colérique, cruelle, avec un sérieux problème de contrôle de ses sentiments. Un rien l'énerve, un rien l'agace et le contrarie. Toujours à cran, il grogne et a constamment la mâchoire crispée. C'est ainsi qu'Adam est fait: de fer brûlant et d'acide corrosif. Il n'aime personne, ou du moins essaie de n'aimer personne, ayant comme plus grande peur ses propres sentiments. Toutes ces choses qui font que la bête est une bête résident au plus profond de son cœur : depuis toujours, un sentiment désagréable l'enivre, le rendant jour après jour plus irritable et perturbé qu'avant. Comme si une trace de son autre vie planait sur lui, comme s'il se sentait aspiré continuellement vers un trou sombre dans les entrailles de la terre.
Pour pallier à toutes ces choses, il s'est réfugié dans une routine somme toute banale : drogue, alcool et sexe débridé. Il ne vit que grâce et pour ça. Pour la couleur ambré du whisky à dix briques dans son bain, pour la brûlure d'une salope dans son lit et pour le piquant de cette poudre dans ses narines. La vie n'a pas de goût, alors il va vers des extrêmes, afin d'en chercher un et cela depuis toujours. Cette vie, il la mène sans honte, sans regrets, au jour le jour. Il ne plaît pas et on ne l'aime pas, mais il ne se gêne pas pour acheter l'amitié de certaines personnes. De temps en temps, Adam est pris d'un besoin d'entourage irrépressible. Alors, sa demeure devient soudain l'antre de centaines de personnes qui y restent jours et nuits. Au départ, ce sont toujours des gens de la haute, des petits cons drogués, des pouffiasses décolorées et des petits bourges qui cherchent à se détacher de leurs petites familles parfaites. Puis, ces gens deviennent ou laissent place, petit à petit, à des zonards, des squelettes qui se jettent sur le moindre billet, sur la moindre drogue, la moindre goutte d'alcool ou de pizza. C'est toujours avant le point de non-retour, lorsque pour la énième fois ses domestiques ont fuit, quand ses murs commencent à être trop pleins de sang, de déjections et de crasse, qu'il décide de se lever de son canapé et de foutre tout le monde dehors à grand coup de pied. Le silence revient et le lendemain, une armée de femmes de ménages auront rayé de la mémoire des gens l'image délabrée de la demeure Randall.
De vrais amis, Adam n'en a pas. Il les a tous déçus, blessés, il a changé. Les seules personnes qui forment son groupe de proches sont des personnes intéressées, des pétasses blondes, des petits cons qui chient de l'or. Il les méprise, mais se sent bien avec eux, car il peut dire, ou faire ce qu'il veut, il en fait ses chiens. En effet, il n'a jamais été sociable, du moins il le pense. Sous son air de fauve, il peut être drôle. Son humour peut faire sourire et en déride plus d'uns. Sarcastique, cynique, caustique et nonchalant, il n'a pas peur de vexer et en devient l'espace d'un instant quelqu'un d'hilarant. Des fois, il se sent d'humeur sociable et tente d'être gentil, mais cette pratique est si peu naturel, qu'il en est plus drôle qu'attendrissant. Ses tentatives de réhabilitation échouent immanquablement.
Il semble être une machine mortelle, à première vue. Seulement, il canalise ses travers, afin de ne jamais dépasser la limite de non-retour. Au départ, c'était dans des bars qu'il se battait, gratuitement. Puis, il est entré dans l'univers des combats clandestins qu'il a fini par organiser, inlassablement. C'est ainsi qu'il s'est coupé du monde, petit à petit, ayant ses périodes d'Hermite mal léché. Pourtant, lorsqu'Adam fatigue, qu'il est usé de ne faire que haïr, il s'installe près de sa cheminée, un verre à la main et soupire, les yeux perdus dans les flammes. Des fois, il rêve de paix, d'un calme intérieur qu'il n'a jamais connu et se demande : pourquoi?
- Physique -
Adam pourrait être beau. Ce genre de type aux yeux verts, aux cheveux blonds et à la peau incroyablement pâle. Le genre de gars aux muscles qui pourraient paraître protecteurs et rassurants, mais qui en fait, sont fais pour briser. Le genre de type qui, quand on se promène avec, laisse l'impression que personne ne pourra vous emmerder, hormis lui. Car du haut de ses un mètre quatre-vingt-cinq et sous ses quatre-vingt-sept kilos, il possède un physique plus qu'impressionnant.
Ses muscles semblent être continuellement contractés et son corps n'est fait que de nœuds durs et stressants. Sa mâchoire saillante et puissante ne semble jamais se détendre et ses sourcils fournis ne se défroncent presque jamais. Il n'est pas ce genre de personnes détendues et calme. Il est une boule de nerf. Cette façon d'être contraste beaucoup avec sa nonchalance naturelle, son air blasé. Son thorax se lève toujours frénétiquement au rythme de sa respiration, toujours forte, bruyante, comme si son âme était à l'étroit dans son corps.
Il ne sourit jamais, ou presque. Ses sourires sincères n'existent pas, ses sourires cyniques vous brisent et ses sourires malsains vous glacent. Il a ce truc qui vous dit qu'il s'en fou et c'est ce qui plaît chez certaines femmes. C'est le mâle, avec un grand M. Le type au côté animal irrésistible, qui fait fantasmer de loin –de très très loin- toutes les nanas ou presque, selon ses dires.
Ses yeux sont incroyablement froids. Comme si en un regard il pouvait vous glacer entièrement. Il ne regarde presque personne de manière douce et agréable, mais quand il le fait, quand il cherche à séduire, son instinct le change radicalement. Il se met droit et son visage se radoucit. Ses yeux se font charmeurs et malicieux. Mais ce n'est qu'illusion, bien entendu.
Le seul moment où Adam semble détendu, reste quand il lit. Même si depuis longtemps, celui-ci a arrêté d'écrire, quand il pose les yeux sur un livre, ses yeux s'adoucissent, sa respiration se calme, son dos et ses muscles se détendent. Il semble apaisait. Seulement, il ne lit presque jamais en présence d'autres êtres humains.
La drogue lui a marqué la peau, mais il reste quelqu'un d'incroyablement résistant et même si lors de ses périodes de grande consommation il ressemble beaucoup à un zombie, au quotidien la drogue ne l'a pas tant marqué que ça. C'est davantage les combats qui lui ont lacéré la peau : des cicatrices parsèment son corps et son nez a été cassé deux ou trois fois, sans parler de ses autres membres. Pour contrebalancé cela et par simple envie, il possède un grand nombre de tatouages sur l'ensemble du corps.
Cependant, Adam a gardé un côté riche dans sa garde-robe. Il s'habille régulièrement de manière élégante et riche, surtout lorsqu'il doit recevoir, où qu'il se rend à des soirées avec son groupe ‘'d'amis'' de la haute et lors des galas de la famille Randall. Même si ses vêtements finissent souvent tâchés et déchirés, il garde cette vieille habitude. Le reste du temps, il s'habille avec des chemises, des débardeurs, des sweats, des jeans.
Sa pilosité est remarquable. Avant, Adam coupait régulièrement ses cheveux. Depuis, il a laissé tomber cette tâche. En effet, ses cheveux, ses poils, sa barbe, poussent à une vitesse impressionnante, lui donnant une allure bestiale.
❧ Questionnaire ❧
• Que pensez-vous de Mme le Maire : Une connasse. Frigide. Comme toutes ces autres politiques. • Storybrooke semble être une petite ville assez chaleureuse. Aimez-vous la ville et qu'en pensez-vous ? : Qu’aurait-elle de différent ? Toutes les villes se ressemblent. • Comptez-vous y rester ? Personne ne sait ce qu’il pourrait se passer demain. Je verrai bien. • On raconte que la ville est apparue grâce à une malédiction. Y croyez-vous ? : On dit aussi que toute âme peut être sauvé. Conneries. • Croyez-vous en la magie ? : J’ai déjà rencontré Dieu aussi. Je planais et il m’a fait la bise. Dieu et la magie c’est pareil : on en parle pour se rassurer, pour éviter de voir les autres et l’horreur humaine. C’est triste. Je peux éventuellement croire en une force sombre. J’en suis la preuve. Je suis ce qu’il y a de plus noir et froid ici. Cette chose qui fait que mon cœur est glacé, ce truc qui me rend comme ça, si ce n’est pas de la magie, qu’est-ce d’autre ? Dieu ? Satan ? Conneries. • Si vous étiez un personnage de conte ou de légende, qui serez-vous ? : Le grand méchant loup, dans le chaperon rouge. Je finirai comme lui par bouffer une gamine et je me retrouverai très certainement au fond de l’eau, une tonne de cailloux dans le bide. Sérieusement, c’est quoi ces conneries ?
Hey ! Moi c'est Pix, j'ai 21 ans. J'ai choisi d'incarner la bête, dans la belle et la bête, d'après le scenario de la Belle, bien entendu. J'espère que cette version, qui est loin du monde enchantée des Disney, vous plaira. Et n'oubliez pas : Toute magie a un prix !
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Dernière édition par Adam Randall le Ven 1 Juil - 16:57, édité 6 fois
ღ Adam Randall ღ
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ღ Colombes envoyées : 26 Date d'inscription : 20/06/2016
Sujet: Re: the big bad beast | Adam Randall (La bête) Mar 21 Juin - 15:30
Once upon my story
Avant la malédiction.
Le prince Adam naquit dans un somptueux château, dans un pays lointain. Il possédait une beauté noble et des yeux d’un bleu sans pareil. Le royaume tout entier fêta l’heureux évènement, porté par la joie infini du roi et de la reine, deux personnes profondément bonnes.
Le jeune prince grandit et devint puissant et fort, très tôt. Malgré le fait qu’il avait passé sa vie avec des parents doux et aimant, il n’en fut que plus capricieux, égoïste et insensible. Le roi et la reine moururent alors qu’il n’avait que 9 ans. Adam se mit à régner sur le royaume comme il le voulait, malgré les recommandations de ses conseillers. Il n’en faisait qu’à sa tête, était violent et colérique. Pendant deux ans, il plongea ses sujets dans un bain de haine et de pauvreté, les taxant, les volants, les maltraitant. Il se fit une réputation par-delà les hautes forêts. Bien plus loin encore. On pouvait en entendre parler comme le roi insolant et l’enfant capricieux qu’il était. Monté trop tôt sur le trône, il n’avait pu avoir l’enseignement souhaité, en plus de son caractère exécrable.
Un soir d’Hiver, alors que le prince n’avait que 11 ans, une vieille mendiante vint taper aux portes du château. Elle offrit une rose à Adam, en échange d’un abri contre le froid qui faisait rage. La vieille femme avait le visage recouvert de pustules, ses rides lui donnaient l’aspect d’un pruneau séché et ses vêtements –ou amas de tissus- étaient en lambeaux. Le prince, saisi d’une violente répulsion face à cette apparence somme toute misérable, ricana. Son présent était trop modeste et son aspect trop sale à son goût. Elle était la représentation de son royaume, aujourd’hui en déroute. La mendiante lui expliqua qu’il ne fallait surtout pas se fier aux apparences, car la véritable beauté venait du cœur. Seulement, le prince lui refusa une nouvelle fois l’entrée de son château. La vieille femme se transforma alors en une créature enchanteresse, une fée aux cheveux blonds comme le blé et à la robe fluide et splendide. Adam supplia à celle-ci de lui pardonner, mais il était déjà trop tard.
« La sécheresse de ton cœur déserté par l’amour te mènera à ta perte. Prend cette rose. Elle se flétrira le jour de tes 21 ans. Si tu n’as pas réussi à aimer quelqu’un, si tu n’as pas réussi à te faire aimer de cette personne, alors, jeune prince, tu garderas l’apparence que ton cœur a toujours eu. Changes et tu seras sauvé. »
Sur ces paroles, la fée s’évapora et le prince sentit monter en lui une douleur infernale. Titubant jusqu’à ses appartements, il sentit son château trembler. Le regard fou, il arriva enfin au miroir de sa chambre et se regarda comme si c’était la première fois. Il put enfin contempler toute la laideur de son cœur. Il s’était transformé en une bête effrayante. Il possédait à présent la crinière d’un lion, la barbe et l’ossature crânienne d’un buffle, les défenses et le groin d’un sanglier, le pourtour des yeux d’un gorille, les pattes arrière et la queue d’un loup et le corps d’un ours. Fou de rage il détruisit tout sur son passage, avant de se rendre compte de la noirceur de son château. La nature ayant repris ses droits, l’immense forteresse n’était qu’une ombre entre les ronces. Puis, se fut au tour de ses domestiques, qui s’étaient tous transformés en objets diverses et vivants.
La bête fit alors cacher tous ses portraits et tout ce qui aurait pu être synonyme de joie. Il erra dans son château pendant des années, avec pour seule fenêtre sur le monde, un miroir magique. Ses sujets placèrent la rose maudite sous une cloche de verre et la regardèrent se faner, la peur au ventre.
Alors que tout espoir avait disparu, ( car qui aurait pu aimer une bête ? ) un vieil homme entra dans le château maudit, poussé par le froid de l’hiver. Alors que les domestiques du monstre acceptèrent de laisser l’homme se réchauffer, la bête, alarmée par un bruit lointain, explosa de colère à la vue de l’imprudent. Il l’enferma immédiatement dans une cellule, sans le ménager et en le nourrissant que de choses pourrit. C’est ainsi qu’il découvrit, un soir, Belle, qui était venue secourir son pauvre père. Sans ressentir la moindre sympathie, la moindre compassion, il bouscula la jeune femme, lui affirmant que son père ne méritait que cela et qu’il serait son prisonnier, pour l’éternité. Seulement, quand il put regarder Belle d’un peu plus près, il constata qu’elle se trouvait être en bien meilleure forme que son pauvre père qui n’allait pas tarder à mourir et décida de le laisser partir, avec pour seule condition, que la jeune femme prenne sa place. La pauvre folle accepta immédiatement, sans y réfléchir plus d’une seconde.
La bête laissa pourrir Belle dans sa cellule. Ses sujets vinrent à parler d’une quelconque possibilité de rédemption, ce qui mit hors de lui l’animal, mais qui, au fond, l’emplit d’un espoir chaud et nouveau. Il donna donc une chambre à la jeune femme et la traita comme une invitée. Du moins, à sa manière. Elle se devait de porter ce qui plaisait au prince, elle se devait de partager ses repas avec celui-ci, lorsqu’il en avait envie et elle se devait de se conduire comme il en avait décidé. Seulement, Belle n’était pas une femme comme les autres et se montra bien plus dure à dompter que ce que la bête avait pu imaginer. Celui-ci avait beau grogner, hurler, montrer ses crocs, elle ne se laissa pas faire pour autant. Il lui faisait la cour comme il pensait devoir la lui faire, sans savoir qu’il n’était que plus répugnant et effrayant. Elle se sentait comme un animal de compagnie, alors que lui, ne la voyait que comme un moyen de se libérer. Ce n’est qu’à la suite d’une dispute qui obligea Belle, effrayée, à s’enfuir du château en pleine nuit, que la bête et elle se rapprochèrent. En effet, Adam se mit à sa poursuite, soudainement effrayé de la voir se perdre, mourir de froid, de faim ou mangé par les loups. Il la défendit alors contre une meute de loup affamée et, après un combat d’une violence inouï, tomba sous l’épuisement de la bataille menait. Belle l’aida à rentrer au château et le soigna tant bien que mal. C’est ainsi que les deux êtres finirent par se supporter. La bête décida de ne plus exercer sa tyrannie sur la belle et celle-ci se fit plus douce. Ils se mirent à parler des nuits entières et elle lui fit découvrir le bonheur d’une compagnie aussi douce, ainsi que la littérature, qui ne quitta plus jamais Adam.
Belle n’était plus prisonnière et la bête s’enticha petit à petit de celle-ci, mettant de côté sa mauvaise humeur et sa colère. Ses sujets semblaient eux aussi apaisés, presque certains de la réussite de cet amour nouveau. Seulement, un jour, Belle qui n’avait pu oublier son père, demanda à la bête si elle pouvait le revoir. Celui-ci accepta uniquement grâce au miroir magique qu’il possédait. Ce qu’elle put en tirer ne s’avéra que tristesse. Son père était tombé gravement malade.
La bête qui était tombé irrémédiablement amoureux de la belle accepta que celle-ci rejoigne son père. Il lui offrit son miroir magique, seul lien qu’il avait pu un jour avoir avec le monde extérieur et la regarda partir, le cœur brisé. Adam s’enferma de nouveau dans son château, n’ayant plus goût à rien. Son triste sort, il l’avait accepté. Qui aurait pu aimer une bête ? Ses sujets et lui s’enterrèrent dans un silence mortuaire, attendant que les quelques pétales tombent enfin. Mais lorsqu’ils aperçurent la lumière au loin, l’espoir qui était mort semblait renaître.
Cela faisait trop longtemps que la belle était partie et la bête s’élança, convaincu qu’elle aussi l’aimait. Seulement, la lumière n’était rien d’autre que des torches en feu de villageois venus le tuer. La bataille fit rage dans l’enceinte du château et c’est au plus haut de celui-ci que la bête affronta Gaston, un être musculeux et mauvais comme la peste. Malgré la force incroyable d’Adam, son ennemi lui assainit un coup fatal, avant d’être lancé du haut de la plus haute tour du château. Belle vint à la bête, qui s’éteignait petit à petit et resta ainsi jusqu’à son dernier souffle. Et dans son agonit, la bête sentit la bouche de la Belle se fermer sur la sienne, lui avouant ses sentiments. Il n’eut qu’une seule envie, se lever et la prendre dans ses bras. La serrer contre lui et lui dire que lui aussi. Il était libérer et son cœur regorgeait alors tout d’un coup d’un amour sincère et vrai. Cependant, la malédiction décida de tomber à ce moment-là sur ces deux êtres et la bête fut projetée loin de son château, là où la magie n’est qu’un mythe et où Belle et lui ne se sont jamais rencontrés. Son âme, partagée entre ici et là-bas, à l’agonie entre deux monde, ne trouva pas le repos. Toutes ses années à attendre et l’espoir qui était enfin revenu, pour que finalement il n’y ait pas cette fin heureuse dont Adam avait tant besoin…
Après la malédiction. Adam est né dans le pays du vin et du romantisme, en France. La famille Randall était une vieille famille ayant basé sa fortune sur le commerce international. Sa mère, descendante d'une vieille famille royale, son père, un directeur richissime. C'est donc dans les meilleures conditions qui puissent être qu'Adam naquît. Étonnamment maigre, il vint au monde trop tôt, avec le thorax creux. Après quelques temps dans une couveuse, il rentra chez lui, bien portant et bien formé. Les parents du petit étaient très fiers d'avoir donné naissance à pareil beauté. Un ange aux yeux bleus et aux cheveux blonds. De plus, déjà très vieux pour donner la vie, ils avaient essayé tant bien que mal de réaliser leur plus grand souhait : avoir un héritier. Et un jour, Adam vint au monde, comme si une fée l'avait apporté, juste avant la fin de tout espoir.
Son enfance se passa difficilement, c'était un enfant qui parlait peu, avec une forte tendance à ne pas écouter et à désobéir plus que la moyenne. Jeune, il était hautain et déjà prétentieux. Ses parents eurent tout le mal du monde à lui apprendre des principes simples tel que la valeur de l'argent, le respect et la politesse. Il s'avéra être un élève très intéressé pour les matières littéraires, exclusivement. Enfant, il se trouva être trop bagarreur et se retrouva exclus de deux établissements privés. Sa mère, Castille Randall, décida de l'inscrire à des sports de combats afin qu'Adam canalise cette colère incompréhensible. Nombreux psychologues vinrent à lui parler, à essayer de le comprendre, seulement cette crise s'arrêta vers l'âge de onze ans. Il se calma et se trouva, semble-t-il quelques amis. Aux yeux de ses parents, c'était une victoire implacable qui n'avait eu lieu que grâce aux meilleurs psychologues du monde. Adam devint un de ces adolescents riches, insupportable, qui ne voyait que par l'argent, les soirées et une certaine popularité. Ses parents, trop heureux de l'accalmie du petit, lui cédèrent tout. Oubliant totalement de laisser une chose bien ancrée dans le crâne du gamin : l'argent n'est pas une fin en soi. C'est à l'âge de vingt ans qu'un changement majeur s'effectua dans la vie de l'héritier Randall : Adam écrivait depuis l'âge où il put apprendre à écrire. Avec le temps, il se mit à écrire de plus en plus de livres, de manières presque frénétiques, racontant des histoires de châteaux, de malédictions, d'histoires d'amour interdites, d'un monde imaginaire, qui semblait sortir tout droit de l'esprit du jeune homme. C'est donc au cours de ses études de commerces qui avaient été imposées par le père Randall, qu'Adam décida de publier son premier livre. Seulement, ce jour-là, il tomba sur une femme peu impressionné par l'argent et qui trouvait le gamin très désagréable. Celle-ci, fit mine d'avoir lu le roman de monsieur Randall et lui tint à peu près ce langage :
monsieur, ce n'est pas l'argent qui donne le talent et dieu seul sait que le talent n'est pas donné à tout le monde. L'écriture est un art et votre torchon fait honte aux plus grands. Comment osez-vous prétendre au titre d'écrivain, avec pareil chiffon. Vous n'avez pas plus de talent, que de plume et je vous prie, monsieur Randall, de quitter ma maison d'édition dès maintenant. Le sourire aux lèvres, elle ajouta. Allez donc pleurer sur les genoux de votre père. Vos histoires ne sont guère appréciables, pour nous, pauvres mortels. Voulez-vous que je vous indique où est la porte ? Ou avez-vous besoin d'une servante pour vous y conduire, au risque de vous perdre entre ma porte et la cafetière ?
Une boule de rage fut ravalé par le jeune adulte, qui semblait se décomposer. Tous les bienfaits que pouvaient lui avoir procuré l'écriture de ces histoires, semblèrent être balayé d'un coup de vent. On venait de lui couper les ailes et même si cette femme n'avait qu'un seul but : faire du mal à ce gamin prétentieux, elle ne se douta pas à quel point elle avait eu tort. C'est à partir de cet incident qu'Adam redevint violent, agressif et qu'il se noya dans l'alcool, la drogue et le sexe, plus encore qu'auparavant. Il arrêta ses études, trop heureux de savoir qu'il pourrait vivre trois vies de luxures entières avant de pouvoir dilapider totalement sa fortune. Sa mère engagea les plus grands spécialistes, mais rien n'y faisait. Ses parents décidèrent de déménager, très loin, afin de remettre sur pieds le gamin. Ils choisirent de donner le choix à leur fils sur le pays et éventuellement la ville en question. Adam tourna le globe que Castille venait d'acheter et y pointa un lieu. Storybrooke. Comme poussé par le destin, la famille Randall s'installa quelques mois plus tard. Ils y avaient fait construire une demeure exubérante, selon les souhaits d'Adam : hors de la ville, dans la forêt, l'espèce de château jaillit de terre trop rapidement. Les Randall arrivèrent avec toutes leurs affaires, leur petit prince sous le bras. Adam eu droit à la plus grande chambre, à une salle de sport, une salle de jeu, à une domestique personnelle et à tout ce qu'il pouvait désirer. En échange, il se devait d'être calme, gentil et droit.
La blague marcha deux, trois ans : le sale gosse se tint à carreau chez lui, ses parents n'eurent droit à aucune arrestation. Pour eux, Adam avait choisi la voie de la sagesse. Il allait et venait entre Storybrooke et sa demeure. Il s'entraîna et développa sa musculature, il semblait calme et apaisait, ayant trouvé comme défouloir le sport. Mais sans le savoir, Castille et Stephan avaient donné la possibilité à leur enfant d'entrer dans un univers où toute l'ardoise avait été effacée. Il n'était plus détesté par qui que ce soit, mais maintenant craint. Donnant l'image d'un colosse au regard noir. Il passa par trois étapes : le repérage. Il huma la ville de fond en comble, caché, pour en connaître tous les recoins et toutes ces personnes. Pendant ce temps, il perfectionnait son corps, ses muscles, son poing. Puis, il passa à la phase intégration, en douceur, grâce à son statut de fils de riche il rentra dans des groupes de personnes qui ne lui ressemblaient pas du tout. Des fils et filles à papa. Il y eu une odeur nostalgique et il voyait en eux, ce qu'il avait été. Puis, la dernière phase fut enclenchée bien malgré lui. A l'âge de 26 ans, il déclencha une bagarre, dans un bar. Sans aucune raison, Adam attrapa un type et le martela de coup. Peut-être à cause de l'alcool, peut-être à cause de ce trou qui s'ouvrit de nouveau dans sa poitrine, peut-être tout simplement à cause de la bête qui venait de se réveiller en lui. Ses parents l'avaient trop castré, trop emprisonné dans un cocon qui n'était pas le bon. Adam n'était pas à sa place ici. On le retrouva dans la forêt, trois jours plus tard, sous la pluie.
Adam passa le plus clair de son temps, à partir de ce jour, à écumer les bars, saccager la maison de ses parents, baiser les plus belles pétasses des environs et à se faire arrêter. Il terrorisa Castille et Stephan, qui n'osaient plus rien dire, rien faire. Ce jeu malsain dura deux ans, avant que les Randall coupent les comptes du gamin, ce qui ne l'empêcha pas de voler dans les poches de ses propres parents. La seule qui avait pitié de lui était une Nanny, sa nanny, celle qui avait toujours été là pour lui et qui le serait toujours. Âgé de 65 ans, elle s'occupait de lui depuis toujours. C'est elle qui le consola lorsque ses parents, usés par leur fils, moururent l'un après l'autre d'un accident cardiaux vasculaire et d'un cancer. Il se retrouva héritier des Randall à l'âge de 31 ans et reprit petit à petit sa vie de sale con. Il se promit cependant de garder la mémoire de ses parents intacte en continuant de suivre les dons qu'ils avaient fait de leur vivant. Puis petit à petit, la violence que ressenti au plus profond de lui Adam se fit trop présente. Il n'arrivait plus à se contrôler et devenait dangereux. Il décida de se cloîtrer chez lui lors de ces périodes invivables. Aujourd'hui, Adam vadrouille entre la ville et sa demeure. Des fois on ne le voit plus pendant quelques semaines, puis il réapparaît tout frais pour de nouveau sombrer. Il organise de nombreuses fêtes chez lui, des orgies aussi et des fois, la nuit, lorsqu'il est allongé dans son lit, il a l'impression qu'un trou dans sa cage thoracique se forme au rythme de sa respiration. Il semble à ce moment-là se souvenir, mais en fait. Rien.
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Dernière édition par Adam Randall le Lun 27 Juin - 21:21, édité 4 fois
ღ Jack Frost ღ
• MEMBRE •
ღ Colombes envoyées : 37 Date d'inscription : 03/05/2016
Sujet: Re: the big bad beast | Adam Randall (La bête) Mar 21 Juin - 23:45
Bienvenu sac de poil
ღ Edward Seeker ღ
• ADMIN •
ღ Colombes envoyées : 88 Date d'inscription : 02/06/2016
Sujet: Re: the big bad beast | Adam Randall (La bête) Mar 21 Juin - 23:59
Hey ! On t'as sortit de ta cage ? Il était temps^^ Content de voir que Belle t'a ramené ici, ça faisait longtemps ^^
Ce que tu as fait du personnage est juste génial, j'ai hâte de voir la suite mais je ne doute pas que cette Bête sera un petit bijou. J'adore l'ambiance que tu lui as déjà donné et je suis sur que Hyde s'est déjà incrusté aux soirées d'Adam...
Bref !!! La suite !!!!!!!!
ღ Chloe Swan ღ
• FONDATRICE •
ღ Colombes envoyées : 383 Date d'inscription : 10/12/2015
Sujet: Re: the big bad beast | Adam Randall (La bête) Mer 22 Juin - 11:28
- Bienvenu/e -
Bienvenu mon cher Adam ! Eh ben elle va avoir du boulot Belle pour conquérir ton cœur de bête !^^ Si tu as des questions, n'hésite pas à mpotter le staff il se fera un plaisir de te répondre ^^
Et n'oublie pas de poster de nous signaler ici lorsque ta fiche sera terminée ^^
ღ Colombes envoyées : 222 Date d'inscription : 29/04/2016 Localisation : Dans la poussière d'une vieille bibliothèque.
Sujet: Re: the big bad beast | Adam Randall (La bête) Mer 22 Juin - 12:42
Chouuu ! ♥ Je suis contente que tu te sois inscrit ! Et avec la Bête en plus ! ♥ Bon retour parmi nous !
J'adore déjà la Bête. Comme Eddie, j'adore ce que tu en as fait et combien tu l'as rendu trash et sombre. Un truc bien plus odieux que la Bête originale et tu sais que j'aime ça ! Bon courage pour la bio, en tout cas ! J'ai hâte de commencer un RP avec toii ! Ca fait longtemps ! ♥
ღ Invité ღ
Invité
Sujet: Re: the big bad beast | Adam Randall (La bête) Jeu 23 Juin - 11:26
Bienvenue parmi nous Adam
ღ Adam Randall ღ
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ღ Colombes envoyées : 26 Date d'inscription : 20/06/2016
Sujet: Re: the big bad beast | Adam Randall (La bête) Jeu 23 Juin - 11:56
*Après deux jours de silence.*
@Jack Frost : Merci, jeune imberbe. Passes un jour chez moi, je te montrerai ce que la neige peut faire dans son état le plus pur ! 8D
@Edward Seeker : Eddy ! Belle m'a dépoussiéré un petit coup. Elle a eu du mal à faire tous les recoins cela dit ! Mais oui ça fait longtemps et ça fait du biiien.
Ton message me touche, ça fait plaisir, je me sens encore très rouillé niveau écriture et façon de penser rp, mais ça va revenir je ne perd pas espoir ! J'espère juste être à la hauteur du truc que j'ai créé ! Et je suis persuadé moi aussi que Hyde et Adam se sont déjà croisés et qu'un RP pourrait être fort sympathique entre les deux bestioles ! (Inutile de te dire qu'Hyde m'a rendu tout chose, j'adore, tout simplement !)
@Chloe Swan : Oh une jolie blonde que voilà. C'est davantage moi qui aura du mal à ne serait-ce qu'approcher la Belle ! Mais toi, tu viens quand tu veux poupée ! Pour ce qui est des questions, je te remercie ! Je n'hésiterai pas mon ange.
@Belle Salesman : Mon chatoooooon. Oui tu m'as conquis avec ton scénario de la bête. J'espère que ma version te conviendra. ♥ Et pour tes beaux compliments, je te remercie ! Tu sais à quel point j'aime rendre trash des choses qui ne le sont pas (assez?), je crois que j'ai hérité ça de mon maître de RP. Va savoir ! J'espère que la suite te plaira autant et qu'il sera à la hauteur de la Belle ♥ J'ai également hâte de RP avec toi, petit retour à mes sources !
@Elsabeth Parker : Merci jolie blonde (décidément!). Je t'invites également de la même manière que Frost, ça va s'en dire ! Mais tu auras libres accès à mes appartements, bien entendu !
ღ Invité ღ
Invité
Sujet: Re: the big bad beast | Adam Randall (La bête) Jeu 23 Juin - 13:14
- Bienvenu/e -
Bienvenue Beast !!! Très bon choix d'avatar !!! Bon courage pour ta fiche ^^ Si tu as des questions, n'hésite pas à mpotter le staff, il se fera un plaisir de te répondre ^^
Et n'oublie pas de poster ici lorsque ta fiche sera terminée ^^
J'ai terminé ma fiche, je vais aller le signaler, je te remercie.
ღ Edward Seeker ღ
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ღ Colombes envoyées : 88 Date d'inscription : 02/06/2016
Sujet: Re: the big bad beast | Adam Randall (La bête) Lun 27 Juin - 20:50
Raaa j'ai beau connaitre l'histoire j'en suis tout ému ^^ C'est magnifiquement tragique ! Je n'ai pas grand chose à dire la dessus si ce n'est que ton personnage a l'air encore plus intéressant^^ J'ai vraiment hâte de le voir évoluer à Storybrooke
Parcontre tu as oublié de noter l'âge de ton personnage dans la première partie. Une fois que ce sera fait je n'aurais aucun mal à te valider^^ (en attendant tout de même l'accord final de Belle puisqu'il s'agit de son scénario).
ღ Adam Randall ღ
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ღ Colombes envoyées : 26 Date d'inscription : 20/06/2016
Sujet: Re: the big bad beast | Adam Randall (La bête) Lun 27 Juin - 21:24
@Edward Seeker : Haaan tu me touches, encore une fois ! J'ai vraiment hâte de le faire évoluer et de pouvoir rp avec vous
Et désolé pour l'âge, j'ai complétement oublié, je pensais que c'était fait ! Merci en tout cas ! Et bien-sûr, attendons notre Belle !
(J'en ai profité pour rajouter de la musique et enlever quelques fautes eheh )
ღ Belle Salesman ღ
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ღ Colombes envoyées : 222 Date d'inscription : 29/04/2016 Localisation : Dans la poussière d'une vieille bibliothèque.
Sujet: Re: the big bad beast | Adam Randall (La bête) Jeu 30 Juin - 20:37
- Congratulation !!!!!!!!!!-
Yaaay ! J'adooore ce personnage ! Il est odieusement triste D8 (je sais pas ce que vous avez en ce moment, avec les personnages trash mais, trop tragiques) et sa bio est super ! Quelques fautes par-ci par là mais le style est tout de même super agréable et fond comme une lecture romantico-épique ! J'ai vraiment hâte de voir ce que donnera le duo Belle et Adam. Mais, SURTOUT de le voir interagir avec d'autres habitants de la ville Quoiqu'il en soit, tu es validée, tu vas pouvoir enfiler ton costume !
Félicitation à toi ! Te voilà désormais validé(e) et à présent prêt(e) pour de nouvelles aventures ! N'oublie pas de recenser ton avatar ici ou ton personnage (contes & légendes) ici, aller réclamer tes points ici, demander un lieu ici, voir pour un job ou des études ici et je te souhaite un très bon jeu ! ^^ On se reverra peut-être pour un petit lien ou un rp !
Codage de Sybline
ღ Adam Randall ღ
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ღ Colombes envoyées : 26 Date d'inscription : 20/06/2016
Sujet: Re: the big bad beast | Adam Randall (La bête) Ven 1 Juil - 12:50
Ooooh tellement de compliments ♥ "comme une lecture romantico-épique", tu me touches Belle ♥ Oui je le trouvais suffisamment trash et j'avais envie de lui donner un fond et c'est vrai que c'est totalement injuste qu'ils se soient fait séparer au moment crucial ! Voilà voilà ! Moi aussi j'ai hâte de voir ce que Belle et Adam vont donner et j'ai hâte de rp tout court avec les habitants de la ville ! Je vais de ce pas faire ce qui doit être fait ! ♥ Merci ma belle.
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Sujet: Re: the big bad beast | Adam Randall (La bête)